6 août 2016
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La confrontation entre l'assurance qui caractérise la promesse et l'incertitude effective du futur nous conduit dans un premier temps à voir dans la promesse une sous-estimation de la complexité des choses, une surestimation de sa propre force et sans doute une forme de naïveté, ce que semble sous-entendre la formulation même du sujet : « A quoi bon ? » , qui exprime bien cette idée de vanité, de résignation. Le futur ne triomphera-t-il pas toujours de nos projections ?